20 juillet 2009
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Souad Massi me prend toujours par les mains et le ventre.
Une mélancolie coule de ses mots.
Mélodie, mélodie... La nuit parfois. Ou une espérance.
Parce que ce qui désespère est comme une illumination au coeur.
Paradoxe, paradoxe... Composer avec ça le plus souvent. Toujours serait mieux dire.
On se souvient de Lavilliers chantant cette chanson ; celui qui l'accompagnait accompagne aussi Souad Massi ici.
Incantation de la liberté à conquérir, pour les autres et soi-même. Contre les équarrisseurs.
"J'entends battre ton coeur..."