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20 juillet 2009 1 20 /07 /juillet /2009 20:15






Souad Massi me prend toujours par les mains et le ventre.
Une mélancolie coule de ses mots. 
Mélodie, mélodie... La nuit parfois. Ou une espérance.

Parce que ce qui désespère est comme une illumination au coeur.
Paradoxe, paradoxe... Composer avec ça le plus souvent. Toujours serait mieux dire.

On se souvient de Lavilliers chantant cette chanson ; celui qui l'accompagnait accompagne aussi Souad Massi ici.
Incantation de la liberté à conquérir, pour les autres et soi-même. Contre les équarrisseurs. 

"J'entends battre ton coeur..."
 

commentaires

K
L'enregistrement est magnifique, trop court.
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S
Et si le paradoxe était une liberté !
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D
Le paradoxe est une apparence.
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B
<br /> <br /> C'est une apparence de ce qui se tient dessous, qui lancine et meurtrit. Les comportements paradoxaux sont des fragilités, des apparences de la fragilité qui habitent les hommes. Parfois, la<br /> mauvaise part en soi est la plus forte.<br /> <br /> <br /> <br />
H
Le paradoxe est peut-être ce lieu où la vérité des êtres se montre, non ?
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B
<br /> Vous avez raison, Horacio. Le tracé droit à la règle ne mène pas à l'essentiel de l'être. Faut quelques marges et de l'opacité pour un inoubliable éclat.<br /> <br /> <br />
H
D'abord, est-ce que ça existe le paradoxe ? Et si quelque chose de l'ordre de la vérité des êtres était dans leurs paradoxes ?
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