26 juillet 2012
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Il y a toujours un point de départ et un point d'arrivée.
Là c'est le même point nommé : Bordeaux au départ et Bordeaux à l'arrivée.
Et entre Bordeaux et Bordeaux, il y a eu Paris.
Des jours et des nuits, des ciels dépareillés, des tas de rues de toutes les tailles, et plein de gens croisés, entrecroisés, avec des airs cons, des airs tristes ou joyeux, fraternels, désespérés, des voix dans tous les sens, et une belle sensation de liberté vraie quand on prend le métro toute seule le soir et que "même pas peur !", c'est comme la poésie : "la poésie, pas peur !"
Forcément, des tas de choses se trament,
une greffe qui prend
sur le coeur.