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3 janvier 2012 2 03 /01 /janvier /2012 23:26

Tu ne te feras pas détester, aimeras le rose que tu n'as jamais aimé, les idées roses que tu n'as pas eues.

Dis-moi si le jeu de l'imagination en serait éclairé...

La fonte des étoiles a des pâleurs neigeuses. 

L'oeil est vulnérable, on trébuche quand le coeur tombe.

commentaires

C
Le cœur ne tombe que si l'on se force à aimer...Ton chemin ne peut s'éclairer qu'en restant toi-même...
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B
<br /> <br /> Ne pas se forcer, non, non. Au fond de soi, il y a des évidences qu'on sait.<br /> <br /> <br /> <br />
C
bonne lecture Brigitte (je t'envoie un papillon tout doux... )<br /> en ce moment je le lis et le relis régulièrement, il me fait du bien
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B
<br /> <br /> Lire et relire... C'est pas mal de faire ça !<br /> <br /> <br /> un papillon en retour sur ton épaule qui se pose.<br /> <br /> <br /> Baisers à toi<br /> <br /> <br /> <br />
C
aimer notre solitude Brigitte, en faire une alliée, un refuge<br /> dans le Vide est l'essentiel,<br /> ce qui compte ce ne sont pas les murs mais l'espace qu'ils délimitent, dans la vacuité tout mouvement est possible,<br /> arriver à faire de soi un espace vide
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B
<br /> <br /> J'ai acheté "La vie d'un idiot", je l'ai reniflé et ça a l'air rudement bien, à ma convenance.   Sombre comme la lucidité. Je me le réserve pour ce soir. J'ai lu au débotté, ici et là,<br /> quelques courts chapitres qui me subjuguent... La pluie par exemple.<br /> <br /> <br /> C'est très juste ce que tu dis, dans un espace donné se trouver son mouvement. Dans un espace vide, oui, c'est cela qu'il faut.<br /> <br /> <br /> Belle soirée à toi christine !<br /> <br /> <br /> <br />
C
crois-tu Dominique que ce soit une question d'époque?<br /> la regarder pour mieux s'en dégager (je ne dis pas s'en foutre!)
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B
<br /> <br /> Une question d'époque, sans doute pas. Cependant les nouvelles technologies (plus nouvelles d'ailleurs) font rebondir plus âprement le sentiment de peu que nous sommes. On assiste davantage au<br /> flux, et au reflux.<br /> <br /> <br /> Ferions mieux parfois de prendre un livre... On n'en manque pas. J'ai d'ailleurs toujours sur ma table, écrit sur un post-it, le titre que tu m'avais donné "La vie d'un idiot" de Akutagawa.<br /> <br /> <br /> <br />
D
Le renoncement à la détestation, du rose ou d'autre chose, obscurcit puis assèche l'imagination. In fine, c'est l'être tout entier qui meurt. Mais il faut, hélas, parfois beaucoup de courage pour<br /> affirmer une détestation, surtout à notre époque, tellement lisse qu'elle en devient glissante.
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B
<br /> <br /> Ce serait se servir de la détestation pour se tenir droit. Dériver comme un bateau : s'éloigner du bord et tenir quand même sa ligne à soi. Etre et assumer qui on est. Chacun doit faire ça, pour<br /> être toujours digne. Au risque du rejet. Mais il est là, à un moment, il est là. Alors refaire encore le chemin, deriver pour ...et pour... et ça n'en finit pas. C'est donc bien vrai qu'on est<br /> toujours seul ! Le destin de l'homme qui n'est pas sur-homme. "Humain, trop humain" disait l'autre.<br /> <br /> <br /> <br />
C
tu seras toujours pardonnée<br /> le cœur est immense<br /> il bat à l'essentiel et se fout du reste...
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B
<br /> <br /> S'en foutre, essayer de s'en foutre, passer ailleurs, quand ailleurs est un lieu.<br /> <br /> <br /> Reste le coeur !<br /> <br /> <br /> Belle journée à toi, Christine !<br /> <br /> <br /> <br />