Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
6 septembre 2012 4 06 /09 /septembre /2012 21:40

Le-Porge--6-septembre-2012-005.JPG

Voir la mer. Ce qu'on veut y voir. 

Un paysage mouvant.

Des gens. Qui ne voient pas la même chose que moi. 

Que l'idée que j'en ai à ce moment-même de la journée.

Fermer les yeux.

Un coquillage.

Fermer les yeux.

Le soleil tape sa douceur sur la peau.Le-Porge--6-septembre-2012-008.JPG

Un chien court après sa joie de chien sans laisse.

Les oyats  poussent encore en haut de la dune blanche.

Passe partout  le sable, corps et racines

aux cheveux d'un cheval.

Fermer les yeux.

Fermer les yeux.


 

Le Porge, 6 septembre 2012 003

 

 

 

commentaires

C
ce mouvement sans fin pourrait lasser. Un tempo qui prend à la tête et au cœur et la vague est renversante.<br /> Beauté pure et l'horizon...ah...
Répondre
B
<br /> <br /> La mer, on n'a jamais rien inventé de mieux , hein ?<br /> <br /> <br /> <br />
M
cette personne aux pieds qui s'éclaboussent des vagues c'est un peu moi tous les matins quand j'y suis ... j'en reviens et pour six mois je n'irai plus ...<br /> restera le bruit "sourd" en ma tête d'une vague qui sur mes pieds se déchire ...<br /> amitié .
Répondre
B
<br /> <br /> C'est le commencement toujours, c'est ça peut-être qui fascine...<br /> <br /> <br /> Amitié à toi<br /> <br /> <br /> <br />
C
Nous sommes la souplesse de l'oyat, la douceur du soleil de fin d'été, la fraîcheur de la brise d'ouest...<br /> Nous sommes cette somme qui nous permet de résister.
Répondre
B
<br /> <br /> Résistons !<br /> <br /> <br /> <br />