2 mars 2010
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15:02
Ah ! Bientôt, bientôt,
le PRINTEMPS DES POETES, en majuscules s'il vous plaît, nous donnera rendez-vous une fois encore, une année encore.
L'an prochain, on ne sait pas, on ne sait pas...
Mais cette année,
du 8 mars au 2 avril,
ce sera la piqûre de rappel de la poésie vivante.
"Ce sont de pauvres types
qui vivent de leur plume
ou qui ne vivent pas
ça dépend la saison."
Ca, c'était il y a quelque temps, les années 50, quand Léo Ferré chantait les poètes qui n'avaient pas les moyens de vivre.
Aujourd'hui, les poètes se débrouillent comme tout le monde,
l'écriture chevillée à la peau, mais c'est à la poésie qu'on en veut.
L'époque doit la trouver insupportable, allez savoir !
Et pourtant, elle est là, toujours là,
surgissant de tous les coins du monde qui se tord,
elle est là, indubitable,
in-du-bi-ta-ble, je vous dis,
contre la grippe des mots usés.
Cette année, les poètes viennent d'Irak (Salah al Hamdani),
du Luxembourg (Anise Koltz),
de Guadeloupe (Daniel Maximin)
et de France (Jean-Claude Pirotte, Sophie Loizeau).
Mais... attention !
Savez-vous à quoi on reconnait un lecteur de poésie ?
Un être de mots,
dans leur exigence,
leur beauté,
leur force,
et leur liberté ?
Regardez bien l'affiche,
là, juste sur votre droite,
et la soignant, votre droite,
vous saurez.
Dans l'item : "Lecture d'image",
Qui donc saura répondre à la question ci-dessus ?
Le "Printemps des Poètes", sur Bordeaux est sous l'égide du Théâtre des Tafurs, 9 rue des Capérans
les spectacles sont mis en scène
avec "justesse" et talent par François Mauget.
Vous pouvez prendre des programmes
dans toutes les bibliothèques de la ville,
le trouver sur le net
www.demandezlimpossible.com
le PRINTEMPS DES POETES, en majuscules s'il vous plaît, nous donnera rendez-vous une fois encore, une année encore.
L'an prochain, on ne sait pas, on ne sait pas...
Mais cette année,
du 8 mars au 2 avril,
ce sera la piqûre de rappel de la poésie vivante.
"Ce sont de pauvres types
qui vivent de leur plume
ou qui ne vivent pas
ça dépend la saison."
Ca, c'était il y a quelque temps, les années 50, quand Léo Ferré chantait les poètes qui n'avaient pas les moyens de vivre.
Aujourd'hui, les poètes se débrouillent comme tout le monde,
l'écriture chevillée à la peau, mais c'est à la poésie qu'on en veut.
L'époque doit la trouver insupportable, allez savoir !
Et pourtant, elle est là, toujours là,
surgissant de tous les coins du monde qui se tord,
elle est là, indubitable,
in-du-bi-ta-ble, je vous dis,
contre la grippe des mots usés.
Cette année, les poètes viennent d'Irak (Salah al Hamdani),
du Luxembourg (Anise Koltz),
de Guadeloupe (Daniel Maximin)
et de France (Jean-Claude Pirotte, Sophie Loizeau).
Mais... attention !
Savez-vous à quoi on reconnait un lecteur de poésie ?
Un être de mots,
dans leur exigence,
leur beauté,
leur force,
et leur liberté ?
Regardez bien l'affiche,
là, juste sur votre droite,
et la soignant, votre droite,
vous saurez.
Dans l'item : "Lecture d'image",
Qui donc saura répondre à la question ci-dessus ?
Le "Printemps des Poètes", sur Bordeaux est sous l'égide du Théâtre des Tafurs, 9 rue des Capérans
les spectacles sont mis en scène
avec "justesse" et talent par François Mauget.
Vous pouvez prendre des programmes
dans toutes les bibliothèques de la ville,
le trouver sur le net
www.demandezlimpossible.com