Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
9 septembre 2010 4 09 /09 /septembre /2010 01:14

 

 

Ce pourrait être à la Chartreuse à Bordeaux.

Parce que les parcours finissent dans ces lieux, dans un abri de béton, où résonnent encore des voix chères.

L'amour, le corps, la mort,

liés infiniment avec ce que cela suppose d'incommunicable parfois.

A sa manière, Marguerite Duras n'aura jamais écrit que sur l'amour,

"le corps mort de l'amour", l'irréconciliable, la séparation,

le désir, la passion,

son immensité et sa douleur.

"Une souffrance indolore", disait-elle.

Des mots pas forcément bavards, mais qui vont vers l'essentiel,

et la nuit.

 

Allez savoir pourquoi ce soir, 09/ 09/ 10, je pense à elle !

commentaires

D
<br /> Plus maintenant. Mais je suis partisan de la liberté individuelle.<br /> <br /> <br />
Répondre
B
<br /> <br /> Tu as raison. Fumer en plein vent donne froid, parfois !<br /> <br /> <br /> <br />
D
<br /> Ces femmes qui fumaient (Simone de Beauvoir, Françoise Sagan...), inconscientes, forcément sublimes...<br /> <br /> <br />
Répondre
B
<br /> <br /> Qui fumaient, qui buvaient and so on ! Qui créaient.<br /> <br /> <br /> Toi, tu ne fumes pas ? <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />