9 septembre 2010
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Ce pourrait être à la Chartreuse à Bordeaux.
Parce que les parcours finissent dans ces lieux, dans un abri de béton, où résonnent encore des voix chères.
L'amour, le corps, la mort,
liés infiniment avec ce que cela suppose d'incommunicable parfois.
A sa manière, Marguerite Duras n'aura jamais écrit que sur l'amour,
"le corps mort de l'amour", l'irréconciliable, la séparation,
le désir, la passion,
son immensité et sa douleur.
"Une souffrance indolore", disait-elle.
Des mots pas forcément bavards, mais qui vont vers l'essentiel,
et la nuit.
Allez savoir pourquoi ce soir, 09/ 09/ 10, je pense à elle !