Bon, il y a de quoi devenir vraiment mystique ! C'est un jour où je devais perdre quelque chose. Faut-il que je sois tête en l'air, ou dans la pêrte de quelque chose qui était inscrite aujourd'hui. Un jour à devenir mystique !
Fondation Miro, (ne pas dire Rouan, mais Gean, parce qu'il est Catalan) Quand ai-je posé mon sac ? Où ai-je posé mon sac ? Je ne sais pas. A un moment, j'ai sorti mon calepin pour noter un truc, mais après... Je ne sais plus,...sauf que je n'avais plus mon sac avec mon attirail dedans..
. Mon portable dedans !
Les gardiens de musée sont des gens formidables. ... J'ai retrouvé mon sac. La dame qui m'a interdit de faire des photos l'a récupéré je ne sais où, et je n'ai même pas pu la remercier. Trop de gens, trop de... trop. On me l'a rapporté tel qu'en lui-même !
Je pourrais parler de l'imaginaire, de la constallation et de la fuite dans l'univers poétique et le rêve de Miro, de "L'oiseau solaire", de la "femme rêvant d'évasion", de "Ce qui sourit à la tombée du jour", de la peinture gestuelle, de la stimulation à la méditation, et de ces perspectives orientales, femme, oiseau et lune comme nutriments récurrents de l'oeuvre, j'ai perdu mon portable, mon téléphone portable.
Alors finalement je m'en fous de tout ça !
J'ai oublié mon téléphone dans le taxi...
Miro écrit sur la sable, c'est beau, et doux. Ses sculptures sont belles, et pleines de libertés d'être, et tant pis s'il ne faisait pas l'unanimité. C'est toujours douteux l'unanimité. Et moi j'ai perdu mon portable !
j'ai perdu mon portable !