Donner mon regard sur le monde, ce qui me réjouit en cela que c'est la seule chose possible de faire.
Le lin. Une plante cultivée pour ses fibres et ses graines. Pour une toile, ou une farine qui invente une autre peau sur la peau, une bouillie bienfaisante pour la blessure, un mal à dire aspiré par le linge. Cent pour cent lin. Signe que le pinceau recouvrira...
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Même Dieu a déclaré forfait et dans ses rangs, on ne s'y reconnait plus ! Le qui du quoi du "pourquoi" ? On n'a pas les réponses. Dieu est de moins en moins un héros, une idée tout au plus, une idée et c'est déjà pas si mal... Mais voilà des révoltes...
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Ce serait comme des mains qui raconteraient dans sa tête... tout le temps en mouvements... On ne pourrait pas savoir ce qu'elles racontent, ces mains... On saurait seulement des mots tirés des doigts, envolés de la paume, tenus dans le poing... On ne...
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Allez venez ! On va monter les marches, se tenir à la rampe si l'on veut, suivre les affiches... Pour la dernière soirée de ce "Printemps des Poètes", où Demandez l'impossible... Demandez l'impossible... ben oui, Demandez l'impossible est affaire de capacité...
Lire la suiteBagdad-Paris, itinaire d'un poète envoyé par La_Huit. - Futurs lauréats du Sundance. "La crainte insupportable que Dieu existe..."
Lire la suiteJe lis des fragments de leurs textes, à elles, Anise Koltz et Sophie Loizeau. Des univers différents pour un même lieu du langage, un lien entre la terre et la peau, la terre qui s'écrit et la peau qui se lit, avec cette sorte d'animalité qui se tient...
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Poètes, vos papiers ! mais les poètes n'en ont pas, ils ont des becs, des pattes qui se montrent pas blanches, du "sent mauvais au pied" et du "sent bon dans les voiles" du bateau libre, une dérive travaillée aux entrailles de la chair, récurée à l'os,...
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15 heures. "La boîte à jouer". Rencontre avec le poète Salah al Hamdani. Il porte sur son visage les traces de l' inquiètude de ceux qui ont eu peur des menaces et supporté les coups, de ceux qui ont lutté, et résisté, et crié au fond de leur âme. La...
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Regarde ! Sous la ville, une terre aveugle, un chemin nu, des pierres. Tu marches dans les rues, sous les néons blancs. Mouvements de tes jambes, de tes bras. Une ronde, un geste comme une marée, une lumière, du silence. Tu ne vois même pas l'horizon....
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Message personnel, sans forme libre du sac à mes mains, creusées de nos voix, transportables au bréchet des mots envolés et j'en aurais verni les lignes incolores.
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