Donner mon regard sur le monde, ce qui me réjouit en cela que c'est la seule chose possible de faire.
Une partition de musique, ...s'il n'y avait que la musique pour s'égarer ! C'est la baguette d'un musicien fou qu'on m'apporte? Maître Colissimo de l'Ecole de Venise, non ? Non ! Il habite à Paris, à deux pas de Bastille ! A franchement parler, c'est...
Lire la suiteIl sera question de valise, de voyage, d'errance, de gens qui viennent et de ceux qui partent, de signes de la main qui accueillent ou rejettent, de mouvements du corps qui veulent bien, qui dévorent, qui dégueulent, qui râlent, qui hurlent aux éclats,...
Lire la suiteUne émission sur le net "Les chants de traverse", la mémoire du vent, de Maurice Benin. Et c'est superbe ! Absolument superbe ! http://www.radiosaintfe.com/rsf/images/stories/mp3/RSF-CHANTS_DE_TRAVERSE_1_16360.mp3?a65c2e524edeee678432eb7806d3ccba=178b9df194b31abcdfe574dafa7251be...
Lire la suiteTu es à la terrasse d'un café. Tu commandes un café. Tu relis les mots écrits un peu plus tôt sur ton écran. Il te semble lire dans un rêve. Tu te dis que, peut-être, ce n'est pas à l'homme que tu as écris, mais à toi-même. Tu deviens ta lectrice et tu...
Lire la suiteC'était le 4 novembre dernier à l'Atelier i.d. 109, à Bordeaux. On savait Claude Bourgeyx écrivain, on le découvre peintre. Et c'est un choc ! Paf ! C'est dire que cette secousse est une sorte d'alerte qui ne trompe pas. On sait, sans mots d'abord, que...
Lire la suiteLe nom des rues et des docks, le nom des parcs et des statues, le nom des déchus dans des miettes de pain, le nom des roses et des rats... Allez ! Passez ! Le nom des vents à la traîne des balançoires, et des ciels jetés n'importe où, le nom des doigts...
Lire la suiteDéci dément, la nuit m'a toujours inspirée ses gammes, tant ôt mine ures, tantôt vibrato, ou molto, allegro, ou malo... Enfin, c'est une drôle de musique. L'est passé où le che f d'orchestre, au battant de la nuit ? Ailleurs dans une autre galaxie, pour...
Lire la suiteJe suis là. Ici. Sur un versant de la fatigue. Attendre que ça passe. S'ajuster au canapé, le dos au dos, les fesses à l'assise. Faire semblant d'être dans le mouvement du monde. Au fond, s'en foutre. Ne pas fermer les yeux, ou bien deux minutes seulement....
Lire la suiteParoles revenues de Gainsbourg en allé... Dans un cadre qui bouge. Entortiller le réel aux paupières d'un escalier, ici et là,
Lire la suiteLa nuit au chat des doléances rêches, par-dessus la lampe, collée à la rambarde, dans un tremblement d'eau, la mémoire hissée des mirages et des ombres, la fumée convertible, toute à la verticale de la main, cherche un visage et des yeux où luirait l'envol...
Lire la suite