Donner mon regard sur le monde, ce qui me réjouit en cela que c'est la seule chose possible de faire.
C'est à Saint-Loubès. A la Chapelle Saint-loup rue du Prieuré. Catherine Cousy expose son dernier travail, une série de toiles de lumières et d'ombres. On ne sait pas ce qui se donne en premier, ni quel est le territoire que l'oeil aborde d'évidence....
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Voilà ma spéciale. La PhotoQuiBouge a un an. Je ne vais pas gloser sur ce qui me plaît dans ce concept, et mettre tout plein d'intelligence dans cette idée. Non, juste dire que c'est l'émotion que je cherche et -serait-ce présomptueux que de prétendre...
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Les fenêtres sont des cadres fixes. Les fenêtres me font toujours penser aux tableaux de Hopper. A l'intérieur du cadre, tout est donné. Se joue une immobilité du mouvement. Des instantanés dans lesquels Edward Hopper peint la vie quotidienne des petites...
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On verra demain. Aujourd'hui, la voiture m'a guidée. Ca pouvait être bien, ben oui, ben non ! Oui, à un moment, Non tout à coup à un autre, comme ça, sans prévenir... Les yeux ouverts sur : la Garonne, des fleurs, les quais, la ville, des rues, la vitre...
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La ville est ivre avec Les Doors. Juste là, un homme est passé, avec son téléphone collé à l'oreille. Il pleurait. Grand black avec les yeux plein de larmes, il s'est mis à hurler, je n'ai pas compris ce qu'il disait. C'était pas de la colère. Ni un être...
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Je me souviens de "Repetto". J'ai fréquenté ce magasin quand je me prenais encore pour un petit rat d'un opéra fantastique aux toits qui surplomberaient Paris : chaussons de danse, collants de danse... j'ai dansé un moment dans des cours pluvieux. Puis...
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Pour s'aérer l'émotion, pour s'arrêter sur le bord d'une route, pour cueillir le vent en passant, se souvenir de... de quoi déjà... de rien du tout ! pour ne pas fumer de cigarette, c'est toujours ça ! pour la beauté des herbes folles, et pour le ciel...
Lire la suiteJe suis sortie avec mes papillons sur les épaules, un accessoire comme un foulard envolé derrière moi. Ils étaient tous là, à me suivre. Alors, nous nous sommes arrêtés, mes papillons et moi, pour écouter la musique des feuilles dans le vent. Ca décoiffait...
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Tout se mélange toujours. Le colloque ET les dunes, le théâtre ET le théâtre du réel, la poésie de la vie, la poésie ET la vie, le cochonnet qui roule qui roule sur le chemin ET tu m'attrapes dans un vol de petit nuage au lait dans ta poche de café, "the...
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De nouvelles musiques toujours ! Zhirayr s'est remis à jouer du doudouk. Dans une semaine, allons on dira deux ! il en jouera chez lui, chez eux. Et on ira boire un verre en l'écoutant, en les regardant, tous les quatre, sans rien montrer de notre émotion,...
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