Donner mon regard sur le monde, ce qui me réjouit en cela que c'est la seule chose possible de faire.
On ne sait pas très bien où on va... Vers quoi... On aime tant dessiner des contours nets, donner des précisions, avoir des assurances... Mais il y a des utopies, avec des bords floutés, et c'est ce que je préfère peut-être.... Les utopies, c'est ce qui...
Lire la suiteFait simplement moche : lourd et orageux. Ne pas regarder dans le rétroviseur. Avancer, écrire un message, téléphoner, n'importe quoi...Les mots dessineront une perspective tordue. Qu'importe ! Se débrouiller avec le n'importe quoi, qui n'est pas de l'immobilité....
Lire la suiteElle m'a remis une enveloppe avec à l'intérieur : - un caillou très lisse (deux petits creux noircis et un trait vague, semblant de bouche dans un visage moqueur ?) - un brin de bruyère en fleurs et herbes retenus par un fil de raphia - un coquillage...
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Un quelque chose de balbutié. Dire est toujours important. Tourner autour de l' axe du "comment". Dire, oui, mais "Comment dire". C'est le "comment dire" qui détermine peut-être la question, quand il y en a une, qui l'allège et la creuse en même temps....
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King Crimson, vous vous souvenez ? J'ai entendu cette chanson que j'aimais tant dans la voiture, alors je n'ai pas résisté : j'ai filmé un "Tourne avec moi". Talk To The Wind (Je Parle Au Vent) Dit l'homme sympa à l'homme en retard Où as-tu été Je suis...
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Les Inrocks se font passeurs. Merci à eux. Je salue donc le courage de ces trois femmes. Je ne peux que passer à mon tour, même si facebook s'en est fait largement l'écho, le texte de Maria Aleckhina. En espérant que Poutine, sous la pression des peuples,...
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Avant de suivre le chemin de sa liberté et de l'existence que Robert Misarhi dit heureuse puisque libre, le sujet ne sait pas qu'il se tient dans une existence spontanée. Je cite ici l'auteur du livre, Véronique Verdier, qui, après l'entretien avec Robert...
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Je ne connaissais pas cette chanson du fils Souchon. Rien envie d'en dire. Comprends qui peut, comme toujours. Comme tout. Elle s'accorde juste bien avec celle du père, non ? C'est toujours une histoire de fil. Qui tient. Qui retient. Le meilleur comme...
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Tout bouge toujours. En dehors de soi. Et en soi. Tout bouge toujours. "Je préfèrerais pas", dit-il, à la façon de "Bartleby, le scribe" d'Herman Melville. Les tensions et les formes, je veux dire. Notre ciel intérieur. On se laisse porter et on s'y baigne,...
Lire la suiteLa route...Un ruban d'asphalte, on s'accommode des couleurs qui frisent la déraison, on croit que le ciel nous accompagne toujours et ce n'est pas vrai, on invente des images magnifiques pour être sûre d'être là, et on se risque à sourire de sa naïveté...
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