Donner mon regard sur le monde, ce qui me réjouit en cela que c'est la seule chose possible de faire.
Le soleil débarque encore aujourd'hui, il tombe d'un grand jet sur la fenêtre. Le chat passe. Je suis certaine d'avoir reconnu le chat. Mais finalement je peux pas dire. Mirage, illusion, les yeux ont leurs grains de sable fichés sous la paupière inférieure....
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Matin arrêté dans un rêve de paille sèche, coup de dés en rebonds dans ce qu'elle veut/veut pas ne sait pas ce qu'elle veut, elle est agaçante à la fin, merde ! Commencer l'instant minuscule d'une caresse sur un visage et fermer les yeux. Fermer les yeux....
Lire la suiteClaude Bellan entame déjà son retour sur Bordeaux. Une exposition à la galerie Guyenne Art de la rue Fondaudège, (en deux temps "hier" les gouaches, "aujourd'hui" les toiles) et une conférence dans les salons Mollat le 31octobre prochain. Un livre aussi...
Lire la suiteS'asseoir par terre. Se rouler par terre. S'étendre, s'étirer, se mettre à plat ventre. Se lever et courir. Se courir après. S'attraper par les jambes, se renverser. Se faire tomber en morceaux de verre. Attention fragile ! Se faire du coude, s'accouder...
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Les mots bleus rue Poquelin Molière, à l'angle de la rue de Ruat. Piétonne. C'est un bar, un café, un... Non, ce n'est ni un bar ni un café. C'est un endroit où... Un endroit ! Voilà c'est un endroit. Un endroit avec un envers, forcément. Dehors. Décor...
Lire la suiteLe chemin nous conduit et on ne sait pas où. Pensées floues dans le trajet d'une voix... par Quani
Lire la suiteUn jour, le long d'un couloir, elle a croisé cette femme oiseau ou papillon noir, et un fatras dans la tête, une fatigue aux yeux, une harmonie plaisante du corps pourtant, tout de guingois, sinon qu'il était très visible cet héroïsme à vivre à sa manière,...
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C'est moche. On s'indigne quand c'est moche. Contre la violence, d'où qu'elle vienne. La petite sortie du bus et les moyens utilisés pour la sale besogne... Mais quoi ? Au-delà de "la façon", il y a cette réalité qui donne froid : l'expulsion brutale...
Lire la suitePour Sarah Seul l'amour fissure la solitude où il ne reste qu'un chagrin d'arbre au creux du jour.
Lire la suiteJ'ai besoin de vous, j'ai besoin de toi ! Oui. N'en déplaise à Schopenhauer qui voulait se retirer de la foule humaine pour mieux l'observer s'agiter, n'en déplaise à Céline, l'atrabilaire si peu amoureux du monde des hommes, n'en déplaise à Cioran qui...
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