Donner mon regard sur le monde, ce qui me réjouit en cela que c'est la seule chose possible de faire.
Un vide à l'intérieur te cloue au carrelage ta mère ne comprend pas pourquoi tu tombes de la grande roue. Mille ans de fatigue et des poussières dépassent du ciel tout retourné. Tu crois que tu meurs plus que tu t'endors. Tu remets les bouts de ficelle...
Lire la suitePas assez de force, pas assez de manganèse, sélénium, et cobalt le corps trébuche à s'abriter ailleurs ramasser ailleurs les petites cuillères. Le chat miaule d'une drôle de manière. Lui non plus n'aime pas la saleté de pub imposée par overblog. Chacun...
Lire la suiteCe film retrace plusieurs séquences de rencontres de parole et d'écriture que j'ai menées en 2011 au CADA. On arrive ici, "poète" de rien. Juste humble. Juste humble ! Il me semble qu'aujourd'hui, je peux montrer ce documentaire. Puisque, s'agissant d'images...
Lire la suiteIl y a des bonnes et des mauvaises questions. Les bonnes sont questionnements, élaborations, mouvements de l'esprit, donnent à penser à... A cause de l'inquiétude qui se niche n'importe où, (dans la laideur comme dans la beauté des choses), de l'étonnement...
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Les mots bleus rue Poquelin Molière, à l'angle de la rue de Ruat. Piétonne. C'est un bar, un café, un... Non, ce n'est ni un bar ni un café. C'est un endroit où... Un endroit ! Voilà c'est un endroit. Un endroit avec un envers, forcément. Dehors. Décor...
Lire la suiteUn jour, le long d'un couloir, elle a croisé cette femme oiseau ou papillon noir, et un fatras dans la tête, une fatigue aux yeux, une harmonie plaisante du corps pourtant, tout de guingois, sinon qu'il était très visible cet héroïsme à vivre à sa manière,...
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C'est moche. On s'indigne quand c'est moche. Contre la violence, d'où qu'elle vienne. La petite sortie du bus et les moyens utilisés pour la sale besogne... Mais quoi ? Au-delà de "la façon", il y a cette réalité qui donne froid : l'expulsion brutale...
Lire la suitePour Sarah Seul l'amour fissure la solitude où il ne reste qu'un chagrin d'arbre au creux du jour.
Lire la suiteJ'ai besoin de vous, j'ai besoin de toi ! Oui. N'en déplaise à Schopenhauer qui voulait se retirer de la foule humaine pour mieux l'observer s'agiter, n'en déplaise à Céline, l'atrabilaire si peu amoureux du monde des hommes, n'en déplaise à Cioran qui...
Lire la suiteEt cet acharnement à vivre grabat à terre comme dit, la monstruosité dite sans ciller la certitude à la bouche une cigarette passée. Comment c'était possible d'ouvrir, les yeux pas la tête, grabat tombé, son mat, tranchant impeccable, à regarder ailleurs,...
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