5 novembre 2009
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23:13
Ce ne serait pas le muezzin qui appellerait à la prière
mais la prière qui l'appellerait,
comme une voix
au silence de la multitude.
D'ici,
entre les ancolies,
je crois
entendre
cet écho
dans la nuit.
Un envoûtement
et
un outrage...