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27 septembre 2011 2 27 /09 /septembre /2011 19:17

Parfois on s'arrête sur des images.

D'une telle beauté ! D'une telle force !

Elles viennent nous chercher, les images.

Et lentement, elles s'imposent, dans cette langue que l'on comprend avant de réfléchir. 

 

 

commentaires

D
<br /> Un genre d'expressionnisme sans date qui transmet de la force et qui reste en mémoire (le privilège de l'art).<br /> <br /> <br />
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B
<br /> <br /> Qui reste en mémoire, oui. La vie dans sa force et une essence qui demeure. Que l'art sait dire, écrire, et montrer terriblement quelquefois.<br /> <br /> <br /> <br />
C
<br /> toi qui aimes les fenêtres, les voiles, les passages...va voir ça<br /> http://irenedegrootphotos4.blogspot.com/<br /> photos qui ne bougent pas (quoique en fixant un petit moment on pourrait croire que..)<br /> <br /> <br />
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B
<br /> <br /> C'est kitch parfois, terriblement, mais la vie est là, celle qui fait frémir, qui sent les vieilles armoires et le sachet de lavande, qui sent la mort qui rôde, et puis la vie toute simple, si<br /> simple si touchante. Ca m'effraie un peu pour tout dire...<br /> <br /> <br /> <br />
C
<br /> J'ai pensé de suite à Pina Bausch moi aussi, comment ne pas...<br /> et au si magnifique film de Wim Wenders que j'ai eu la chance de partager cet été (un jour de pluie) en compagnie des danseurs d'une belle troupe<br /> http://youtu.be/tOAZqY2h-nM<br /> pas atroce, stupéfiant comme ta vidéo, ça atteint les tripes avant se hisser jusqu'à la tête<br /> <br /> <br />
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B
<br /> <br /> "ça atteint les tripes avant se hisser jusqu'à la tête", oui, c'est exactement ça pour moi. On reçoit les images sans les analyser et on sait que là, il y a quelque chose que les mots ne diront<br /> pas. Ils tenteront de le faire, et autrement. Dans une autre langue. Mais c'est très fort ces images. Je vais voir ton lien...<br /> <br /> <br /> <br />
K
<br /> C'est atroce. Du Pina Bausch. Plutôt ne jamais étreindre. L'agonie viendra.<br /> <br /> <br />
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B
<br /> <br /> Je comprends que tu puisses avoir cette perception. Mais ce n'est pas la mienne. Et puis l'agonie, quoi qu'on fasse, elle viendra toujours.<br /> <br /> <br /> <br />
C
<br /> La magie du corps. Les mots dansent en apesanteur. Tout est dit.<br /> Je sens les vagues qui charrient. Le flux et le reflux du désir et de l'amour.<br /> Baisers<br /> <br /> <br />
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B
<br /> <br /> superbe, oui.<br /> <br /> <br /> Baisers à toi bella !<br /> <br /> <br /> <br />
D
<br /> Beau film qui a quelque chose d'olympien dans cette étreinte comme un combat perdu où corps et visages finissent par se fondre.<br /> <br /> <br />
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B
<br /> <br /> Quelque chose de durassien. De désespéré. De fou. De terrible.<br /> <br /> <br /> <br />