17 avril 2011
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C'est à Erevan, à Bakou, ... ou ailleurs.
On partirait de là-bas pour raconter l'histoire.
Raconter une histoire est une nécessité
pour l'aborder,
que d'autres accostent des rivages, un quai qu'on ne sait pas.
Aborder une terre, c'est dessiner une géographie de nulle part,
des virages en épingles à cheveux piquées sur un marbre.
La pierre résiste aux vivants, pas aux morts.
Faudrait alors un bois tendre pour tailler son histoire,
pour une route.
Parce que loin, c'est là,
et là,
c'est ici.