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17 avril 2011 7 17 /04 /avril /2011 20:34

C'est à Erevan, à Bakou, ... ou ailleurs.

On partirait de là-bas pour raconter l'histoir1111982853_d0517a59d9.jpge.

Raconter une histoire est une nécessité

pour l'aborder,

que d'autres accostent des rivages, un quai qu'on ne sait pas.

Aborder une terre, c'est dessiner une géographie de nulle part,

des virages en épingles à cheveux piquées sur un marbre.

La pierre résiste aux vivants, pas aux morts.

Faudrait alors un bois tendre pour tailler son histoire,

pour une route.

Parce que loin, c'est là,

et là,

c'est ici.

 

 

 

commentaires

C
<br /> Un quai, une piste d'atterrissage où poser ses valises. Ici ou là, un lieu du présent et de l'avenir.<br /> Une terre où vivre tout simplement.<br /> <br /> <br />
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B
<br /> <br /> Un lieu, oui, à toi, dans ta rue de Paris. Où tu es à l'abri de tout, de tout. Je suis avec toi.<br /> <br /> <br /> <br />
C
<br /> Ici, là-bas,<br /> les histoires, les terres s’apparentent<br /> écouter leurs accents<br /> J’ai fait l’an dernier une magnifique rencontre avec Jihad Darwiche,conteur si magique, homme magnifique, qui dit si bien sa terre sans frontière, tu viens de m’y faire penser…<br /> <br /> <br />
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B
<br /> <br /> Une terre, on oublie la chance que c'est d'en avoir une, ou plutôt une qui nous veut, en oute légalité, en toute humanité...<br /> <br /> <br /> Amitiés<br /> <br /> <br /> <br />