Donner mon regard sur le monde, ce qui me réjouit en cela que c'est la seule chose possible de faire.
Un espace s'ouvre où respirer un air rare et doux, et c'est une sorte d'orgueil avec soi-même, de fierté pour soi et en-dedans de soi, vouloir se tourner alors vers l'autre se tourner vers lui comme jamais le trouver beau, et être heureux de le trouver...
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par François Busnel du lundi au vendredi de 17h à 18h Ecoutez l'émission de mon ami Robert Misrahi avec la suite ce soir, à 17h ! Beaucoup de livres de lui, beaucoup, et même sur lui, sur sa pensée déployée, la sienne, la sienne autour de celle de Spinoza......
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Un papillon ou la fragilité des herbes, si jolis dans le vent d'une fugue de Bach... Rien ne résiste à cette beauté-là, à cette musique, profonde et légère pourtant. Une amplitude du dedans, on dirait. Ca respire, en résonance, dans le sang d'un coqu...
Lire la suiteJe reçois ce matin trois cadeaux en image : Un de Clarisse, cette rose bien éclose qui doit sentir très très bon, et que j'aime savoir parmi les livres. Merci mille fois à toi, Clarisse ! Une photo prise par Jean-Luc Montanari, l'autre jour en partage...
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L'émulsion a tourné vinaigre, avec le lait et le coton, (est-ce du lait et de l'extrait de coton ?), des grumeaux ont congestionné l'huile de pépin désolid arisée de la toile et le pigment d'acide azoté ajouté d'eau de Malte a coulé sur le comptoir de...
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Désirer, c'est "sidérer", "se sidérer"... Il sera le baiser d'un paysage et d'une couleur au fond des yeux du chemin d'un coeur à corps accordé à un autre corps. C'est cela que dit Gilles Deleuze. Juste cela. Enormément cela. Superbement cela.
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Ca fait du bien d'entendre ça, même si c'est didactique, c'est toujours actuel. La Syrie en sait quelque chose et tant d'autres pays du monde. Le dictateur, ici, donne place à l'homme, et contre toute attente, c'est l'humain qui parle. Et qui est acc...
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Ne rien faire. Lit à volonté (saleté de virus !). Chanson dans la tête qui ne passe pas. Le rideau bouge un peu sous le vent, soulevant une, deux pensées...
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Ah ! Ce film de François Truffaut ! "L'homme qui aimait les femmes" Combien de fois l'ai-je vu... Avec toujours le même bonheur et la même empathie pour Charles Denner. Dès le début, on en sait la fin, mais c'est pas grave... parce que c'est toujours...
Lire la suiteLa pollinisation des pensées s'accompagne toujours de la poétisation des mots et des choses. C'est une disposition particulière de l'esprit qui invite à la rêverie. Qui initie la journée à la légèreté, quand bien même le soleil pèse trois tonnes dans...
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