Donner mon regard sur le monde, ce qui me réjouit en cela que c'est la seule chose possible de faire.
21 mars 2014. Bibliothèque Bordeaux Grand Parc. Printemps des Poètes, Demandez l'impossible. Je rencontre Lionel Bourg pour un entretien autour de deux de ses livres : "L'irréductible" et "L'horizon partagé". Paraît que notre tandem a pas mal fonctionné,...
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16 mars 2014. Musée d'Aquitaine. Le théâtre des Tafurs présente "Je te nous aime" de Albane Gellé. Deux couples d'acteurs et de musiciens rejouent le parcours compliqué de la relation amoureuse : désirs, hésitations, rires et inquiétudes, îles et ailes,...
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Printemps des poètes. 14 mars 2014. "Abyssal Cabaret" ou une déambulation poétique dans l'espace public. Dans cette ballade urbaine, "la femme dont nous racontons l'histoire" nous ouvre un chemin pour la suivre. Caroline Lemingrad porte à merveille le...
Lire la suiteCa sonne comme un nom de médicament. La tranquillité ou "l'absence des désordres liés aux émotions", dit Spinoza. Nietzsche et Spinoza sont en tout cas d'accord sur le point de distance qu'il convient d'avoir face aux événements. Un leurre utile finalement...
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Sous la parure les âmes s'évitent quoi qu'on puisse en saisir le café déborde de la tasse et se fige par terre Dans la nuit deux âmes cherchent où s'agripper un rêve essaie de relever encore la tête
Lire la suiteParfois ça marche pas. On en a juste marre. L'homme qui marche | 7 mars 2014 par Quani
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Ce matin cette rengaine dans la tête, je ne sais pas pourquoi celle-ci. Une chanson qui offusque quel rêve ? "Je voudrais je voudrais je n'sais trop quoi Je voudrais ne plus entendre ma voix J'ai peur j'ai peur de toi j'ai peur de moi" " Nous sommes entrés...
Lire la suiteIl y a des bonnes et des mauvaises questions. Les bonnes sont questionnements, élaborations, mouvements de l'esprit, donnent à penser à... A cause de l'inquiétude qui se niche n'importe où, (dans la laideur comme dans la beauté des choses), de l'étonnement...
Lire la suiteLe café est désert. L'attente, c'est la lenteur de l'oeil. Il y a un type au comptoir qui a l'air de ruminer sa solitude. Je l'immortalise. Je me sens dans un tableau de Hopper. Dedans/dehors, tout est lisse. Et la vie coule comme la pluie dégouline....
Lire la suitePour la transparence. Les arbres. Un air de Turner fondu dans l'image, à la fin. Je bricole. Tourne avec moi | 18 février 2014 par Quani
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