Donner mon regard sur le monde, ce qui me réjouit en cela que c'est la seule chose possible de faire.
My heart's brother sait drôlement bien me dessiner. Sait que je m'endors tard, tard, que j'aime mon chat, que MD m'aime, m'a toujours aimée, hé oui ! j'y peux rien, ! que mes livres s'arrachent, (ha ! ha ! ha !) et que j'ai une tête à chapeaux.
Lire la suiteLe passage est indéfini. Sa frontière est floue. L'heure du jour est une pensée anxieuse, sans importance de ce qui se rejoint de ce qui se disjoint de ce qui s'attarde ou se sépare dans le vent. Des lieux de garde convoquent seuls des voix des yeux dans...
Lire la suiteCorrespondance avec mon frère de coeur. Lui, il invente des histoires, il dessine, il légende. Une idée, hop ! un stylo Bic, un feutre, un rötring à portée de main... Suffit de trois traits pour enclencher la mécanique de l'imaginaire. Ou inversement....
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Tu ne sais pas comment ça commence. Encore, c'est la nuit et les yeux rendent grâce. Les mots se répandent en toi, au révélateur, un lavis de mots dont tu te souviens très bien. Tu te moques des rayons du soleil. Tu n'approches pas tout de suite de la...
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Souvent. Une frontière dans les yeux. L'autre quai, l'autre côté de la rue, l'autre bout de la place. Par-dessus l'épaule. Tu rassures la nuit, chuchotements, criailleries, manière de ne pas porter trop loin le regard, de tenir la ligne, l'horizon à ta...
Lire la suiteTu te souviens que tu avances longtemps dans le passage, des ombres devant toi, des silhouettes, un corps, "aveugle", tu dis, à assembler, vaille que vaille, les pièces d'un lego. Tu vides le mouvement des mains sur la table, des sacs de mains, tu allèges...
Lire la suite23 mars 2014. Musée des Beaux-Arts. Le spectacle est conçu comme un parcours déambulatoire dans la galerie du Musée. Nous sommes sur l'île de la Réunion. La poésie organique de Murièle Modély fait la part belle à la sourde tension entre ici et ailleurs,...
Lire la suiteBoire un café, - Est-ce que tu m'as servi ? Non je ne crois pas. dans ce bar, deux/trois personnes peut-être, - Ou plus ? Non je ne crois pas. deux femmes près de l'entrée, c'est sûr qu'elles étaient là quand j'ai poussé la porte, à raconter leurs gestes....
Lire la suite"La faute à Ferré" de Lionel Bourg Institut de Journalisme Bordeaux Aquitaine. 22 mars 2014 C'est ta faute Léo, si nous rêvons enfin. Ce texte de Lionel Bourg n'est pas à proprement parler un hommage, plutôt le constat amoureux de 'l'influence" que Léo...
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